Soulager les allergies saisonnières : 5 solutions pour mieux vivre la saison pollinique
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Comment calmer les allergies au pollen ? Rhume des foins ou dermatite : la saison pollinique, Une saison difficile pour les allergiques
Avec l’arrivée du printemps et des beaux jours, une autre saison débute en parallèle : celle des allergies aux pollens. Chaque année, des millions de personnes souffrent de symptômes plus ou moins intenses liés à la dispersion des pollens dans l’air. Nez qui coule, éternuements en rafale, yeux rouges et irrités, fatigue persistante, pas de doute, c’est la rhinite allergique !… Pour celles et ceux qui y sont sensibles, cette période peut vite devenir un véritable calvaire. Mais qu’est-ce qui déclenche le symptôme d’une allergie au pollen ?
Mes enfants et moi sommes passés par là. Ma fille était poly-allergique, chats, chevaux, pollens, et même son doudou ! Mon fils, sportif de haut-niveau en sport nature (kayak) était aussi très gêné au moment de la reprise de sa saison sportive par le rhume des foins. Et oui, vous avez bien lu étaient… Je vous explique ce qui nous a permis de calmer les allergies au pollen.
L’allergie aux pollens, aussi appelée allergie saisonnière, résulte d’une réaction excessive du système immunitaire face aux grains de pollen transportés par le vent. Selon les régions et les conditions climatiques, certaines périodes sont plus critiques que d’autres. Par exemple, les pollens d’arbres comme le bouleau ou le noisetier dominent en début d’année, les graminées prennent le relais entre mai et juillet, tandis que l’ambroisie connaît son pic en septembre.
Les changements climatiques et l’augmentation de la pollution atmosphérique aggravent la situation, ce qui explique pourquoi certaines années les allergies sont plus fortes. Une exposition répétée à ces allergènes peut non seulement impacter la qualité de vie, mais aussi favoriser des complications respiratoires, notamment chez les personnes asthmatiques.
Heureusement, il existe des solutions pour soulager les allergies au pollen et limiter leur impact sur le quotidien. De la prévention aux traitements classiques en passant par des approches alternatives comme l’auriculothérapie ou la méthode Total Reset for allergies, plusieurs stratégies permettent de mieux vivre la saison pollinique. Dans cet article, nous verrons comment identifier les pollens les plus allergisants, quelles sont les meilleures pratiques pour s’en protéger et quelles solutions naturelles peuvent apporter un soulagement efficace.
Pourquoi le pollen déclenche des allergies ?
Lorsque des grains de pollen entrent en contact avec les muqueuses du nez, des yeux ou des voies respiratoires, le système immunitaire les identifie à tort comme une menace. L’amygdale, véritable centre d’alerte du cerveau, active alors une réponse en chaîne :
- Libération massive d’histamine, responsable des démangeaisons (yeux, gorge, peau avec la dermatite atopique), de l’écoulement nasal et des rougeurs = symptôme d’une allergie au pollen.
- Hyperactivation du système immunitaire, provoquant une inflammation excessive des muqueuses.
- Réaction de stress et aggravation des allergies au pollen.
Ces réactions allergiques, bien qu’initialement destinées à protéger l’organisme, deviennent rapidement incontrôlables et entraînent une gêne importante au quotidien. Le corps entre alors dans un cercle vicieux où chaque nouvelle exposition intensifie la réponse allergique.

Inflammation et allergies au pollen
Un élément clé souvent négligé dans les allergies au pollen est l’état inflammatoire général du corps. L’inflammation chronique, causée par un mode de vie déséquilibré, joue un rôle majeur dans l’intensification des réactions allergiques.
Lorsqu’une personne est déjà en inflammation chronique, son système immunitaire est en état d’alerte permanent, rendant l’organisme plus réactif aux allergènes. Résultat : au moindre contact avec du pollen, la réponse est amplifiée et les symptômes deviennent plus forts.
Les principaux facteurs favorisant l’inflammation chronique incluent :
- Une alimentation pro-inflammatoire, riche en sucres raffinés, en produits ultra-transformés et pauvre en fibres.
- Un stress chronique, qui entraîne une sécrétion excessive de cortisol, perturbant la régulation immunitaire.
- Un microbiote déséquilibré, affaiblissant la barrière intestinale et augmentant la sensibilité aux allergènes.
Lorsque ces éléments s’accumulent, le corps est dans un état de défense constant, ce qui le rend particulièrement vulnérable. En conséquence, les personnes sujettes aux allergies peuvent voir leurs symptômes varier d’un jour à l’autre, en fonction de leur état inflammatoire général.
L’hippocampe, la mémoire du danger
L’un des aspects méconnus des allergies au pollen est leur lien avec la mémoire du cerveau. Lorsqu’un individu est exposé pour la première fois à un allergène, l’hippocampe enregistre cette expérience comme une menace potentielle. À chaque nouvelle rencontre, cette mémoire de danger est réactivée, rendant la réponse immunitaire de plus en plus forte. C’est ce qui explique pourquoi certaines personnes développent des allergies en grandissant, alors qu’elles n’étaient pas sensibles auparavant.
Ce phénomène de sensibilisation peut aussi être renforcé par des facteurs environnementaux :
- La pollution atmosphérique, qui modifie la structure des pollens et les rend plus agressifs pour les voies respiratoires.
- L’hérédité, les personnes dont les parents sont allergiques ayant un risque accru de développer une hypersensibilité.
- Le stress et la fatigue, qui affaiblissent les défenses naturelles et rendent le corps plus vulnérable aux réactions excessives.
Peut-on reprogrammer cette réaction allergique ?
La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’agir sur cette mémoire immunitaire et émotionnelle pour réduire la sensibilité aux pollens. La méthode Total Reset for allergies et LEAA (Libération des Emotions et des Allergies Associées) s’appuient sur des techniques de régulation du système nerveux pour :
- Apaiser l’amygdale et limiter l’hyperactivation du système immunitaire.
- Restaurer une tolérance progressive aux allergènes en réduisant l’état d’alerte du corps.
- Rééquilibrer le microbiote, qui joue un rôle clé dans la réponse immunitaire et l’inflammation.
- Permettre une désensibilisation naturelle aux allergies au pollen.
En combinant cette approche avec des stratégies de gestion du stress et une alimentation anti-inflammatoire riche en oméga-3 et en antioxydants, il devient possible d’atténuer les symptômes allergiques et de retrouver un confort de vie optimal.
Prévention : comment limiter l’exposition aux pollens et réduire les symptômes ?
Les allergies au pollen peuvent être atténuées en adoptant des stratégies pour limiter l’exposition. Si éviter totalement ces allergènes est impossible, certaines précautions permettent de réduire leur impact et d’atténuer les réactions inflammatoires.
Suivre les bulletins polliniques pour anticiper les pics d’allergie
Les quantités de pollens en suspension dans l’air varient selon les saisons et les conditions météorologiques. Il est donc essentiel de :
- Consulter régulièrement les bulletins du Réseau National de Surveillance Aérobiologique (RNSA), qui indique les périodes à risque.
- Éviter les sorties les jours de forte concentration pollinique, notamment par temps sec et venteux.
- Profiter des jours de pluie pour sortir, car l’humidité plaque les pollens au sol et réduit leur dispersion dans l’air.
Limiter la présence de pollen à l’intérieur
Les pollens peuvent pénétrer dans les espaces clos et s’y accumuler, aggravant les symptômes des allergies. Pour limiter leur présence dans l’habitat :
- Aérer aux bonnes heures : tôt le matin ou tard le soir, lorsque la concentration de pollens est plus faible.
- Utiliser un purificateur d’air HEPA, qui capture les particules allergisantes.
- Éviter les tissus et tapis épais, qui retiennent les allergènes. Privilégier un nettoyage régulier des surfaces.
- Changer de vêtements après une sortie et se laver les cheveux avant de se coucher, afin d’éliminer les pollens accumulés au cours de la journée.
Se protéger en extérieur
Lors des périodes de forte pollinisation, certaines précautions permettent de réduire l’exposition directe :
- Porter des lunettes de soleil pour protéger les yeux et limiter la conjonctivite allergique.
- Utiliser un masque filtrant en cas de forte allergie, notamment en période de pics.
- Éviter les activités en plein air dans les parcs et les zones boisées aux heures les plus critiques (fin de matinée et début de soirée).
Agir sur l’inflammation pour calmer les allergies au pollen
Limiter l’exposition est essentiel, mais insuffisant si le corps est déjà en inflammation chronique. Pour réduire la réactivité immunitaire et améliorer la tolérance aux allergènes, il est recommandé de :
- Adopter une alimentation anti-inflammatoire, riche en oméga-3 (poissons gras, graines de lin) et en antioxydants (fruits et légumes colorés).
- Gérer son stress, qui joue un rôle clé dans l’amplification des allergies. Des techniques comme l’EFT ou la cohérence cardiaque aident à réguler le système nerveux.
- Renforcer le microbiote intestinal, en consommant des aliments fermentés et en évitant les sucres rapides, qui favorisent l’inflammation.
Réduire l’exposition et agir sur l’inflammation chronique permet de mieux contrôler les allergies au pollen et d’améliorer la qualité de vie au quotidien.

Calmer les allergies au pollen
Si éviter totalement les pollens est impossible, plusieurs solutions permettent d’atténuer les symptômes et de mieux vivre la saison pollinique. Les traitements conventionnels agissent principalement sur les symptômes, tandis que certaines approches naturelles permettent d’agir sur le terrain allergique et l’inflammation chronique.
Les traitements classiques des allergies au pollen
La médecine conventionnelle propose plusieurs options pour soulager les symptômes :
- Les antihistaminiques : ils bloquent l’action de l’histamine, responsable des démangeaisons et des écoulements nasaux. Ils offrent un soulagement rapide, mais ne traitent pas la cause de l’allergie.
- Les corticoïdes locaux : souvent prescrits sous forme de spray nasal, ils réduisent l’inflammation et décongestionnent les muqueuses.
- Les collyres antiallergiques : utiles en cas de conjonctivite allergique, ils soulagent les yeux rouges et larmoyants.
- Les bronchodilatateurs : prescrits aux personnes asthmatiques, ils aident à ouvrir les voies respiratoires en cas de réaction allergique sévère.
- La désensibilisation : également appelée immunothérapie spécifique, elle consiste à exposer progressivement l’organisme à de faibles doses de pollen pour réduire la réactivité immunitaire sur le long terme.
Ces traitements permettent un contrôle efficace des symptômes, mais ils ne traitent pas les causes profondes des allergies et ne préviennent pas leur aggravation avec le temps.
La naturopathie pour mieux tolérer les pollens
En complément des traitements classiques, certaines solutions naturelles aident à réduire la sensibilité aux pollens et à agir sur l’inflammation chronique.
- L’alimentation anti-inflammatoire : privilégier les aliments riches en oméga-3 (poissons gras, graines de lin), en quercétine (oignon, pomme, brocoli) et en antioxydants (fruits rouges, légumes verts) pour moduler la réponse immunitaire.
- Le renforcement du microbiote intestinal : une flore intestinale équilibrée contribue à une meilleure tolérance aux allergènes. Les aliments fermentés (kéfir, choucroute, miso) et les probiotiques naturels sont particulièrement bénéfiques.
- L’auriculothérapie : en stimulant des points réflexes de l’oreille, elle contribue à réguler les réactions allergiques et à apaiser les inflammations.
- La phytothérapie, les plantes pour calmer les allergies au pollen : certaines plantes comme le plantain ou l’ortie sont reconnues pour leurs effets anti-inflammatoires et antihistaminiques naturels.
- La mycothérapie : certains champignons, comme l’agaricus blazei sont très efficaces pour réduire les symptômes allergiques.
La méthode Total Reset : une approche globale pour reprogrammer le terrain allergique
Contrairement aux traitements symptomatiques, la méthode Total Reset vise à rééquilibrer en profondeur les réponses du système immunitaire face aux pollens.
Elle repose sur plusieurs axes :
- Apaiser l’amygdale, pour réduire la perception des allergènes comme une menace.
- Rééduquer le système immunitaire, en travaillant sur la tolérance aux substances perçues comme agressives.
- Corriger l’inflammation chronique, grâce à une approche combinant alimentation, gestion du stress et rééquilibrage énergétique.
Cette méthode s’adresse à celles et ceux qui souhaitent une solution durable, une sorte de désensibilisation naturelle aux allergies au pollen, en complément des mesures de prévention et des ajustements de mode de vie.
En combinant traitements classiques et approches naturelles, il est possible de mieux gérer les allergies au pollen et de réduire progressivement leur impact sur le quotidien.
Allergies au pollen et mode de vie : comment s’adapter au quotidien ?
Les allergies au pollen ne se limitent pas à des symptômes passagers. Elles peuvent impacter profondément la qualité de vie, notamment en période de forte pollinisation. En adaptant son environnement, son alimentation et sa gestion du stress, il est possible de mieux vivre avec les pollens et de réduire l’inflammation chronique qui amplifie les réactions allergiques.

Optimiser son environnement pour limiter l’exposition aux pollens
Même en restant vigilant, les pollens s’infiltrent partout. Quelques ajustements permettent toutefois d’en limiter la présence dans les espaces de vie :
- Aérer son intérieur intelligemment : ouvrir les fenêtres tôt le matin ou tard le soir, lorsque la concentration est plus faible.
- Utiliser un purificateur d’air HEPA pour filtrer les particules allergènes et assainir l’air intérieur.
- Laver fréquemment les textiles : draps, rideaux et vêtements captent les pollens, il est donc essentiel de les laver régulièrement.
- Prendre une douche et changer de vêtements après une sortie pour éviter d’introduire du pollen dans son espace de vie.
- Éviter de faire sécher son linge à l’extérieur en période de forte pollinisation, car il peut capturer des particules allergisantes.
Adapter son alimentation pour mieux tolérer les pollens
Une alimentation adaptée permet de renforcer l’organisme face aux allergies au pollen et de réduire l’inflammation chronique qui favorise l’hyperréactivité immunitaire.
Les aliments à privilégier :
- Les oméga-3 (poissons gras, graines de lin, noix) pour leurs propriétés anti-inflammatoires.
- Les antioxydants (fruits rouges, légumes verts, curcuma) qui protègent les cellules et réduisent les réactions excessives.
- La quercétine (oignon, pomme, brocoli), un antihistaminique naturel qui aide à calmer les symptômes allergiques.
- Les aliments fermentés (kéfir, choucroute, miso) pour restaurer un microbiote équilibré et améliorer la tolérance aux allergènes.
Les aliments à éviter :
- Les sucres rapides et les produits ultra-transformés, qui entretiennent l’inflammation chronique.
- Les produits laitiers de vache, qui peuvent favoriser la production de mucus et aggraver la congestion nasale.
- Les aliments riches en histamine (charcuteries, certains fromages, alcool), qui peuvent renforcer les symptômes allergiques.
Gérer son stress pour apaiser le système immunitaire
Le stress joue un rôle majeur dans l’intensification des allergies au pollen. En activant la production de cortisol, il maintient l’organisme en état d’alerte et aggrave l’inflammation. Apprendre à le gérer permet de réduire la sensibilité aux pollens et d’atténuer les symptômes.
Quelques techniques efficaces :
- L’EFT (Emotional Freedom Techniques), qui aide à libérer les tensions et à apaiser les réactions de stress associées aux allergies.
- La cohérence cardiaque, une respiration rythmée qui calme le système nerveux et réduit l’hyperactivation immunitaire.
- Le yoga et la méditation, qui aident à réguler l’état inflammatoire et à améliorer la résilience face aux allergènes.
- Un sommeil de qualité, essentiel pour permettre au corps de mieux gérer l’exposition aux pollens.
Reprendre une activité physique adaptée
Faire du sport est important pour la santé, mais en période de pollinisation, certaines précautions sont nécessaires :
- Privilégier les séances en intérieur pour limiter l’exposition.
- S’entraîner après la pluie, lorsque l’air est plus pur et moins chargé en particules allergènes.
- Se rincer le visage et les yeux après l’effort pour éliminer les pollens accumulés.
Une approche globale pour mieux vivre avec les allergies
L’adaptation du mode de vie joue un rôle clé pour calmer les allergies au pollen. En combinant la réduction de l’exposition, une alimentation adaptée et la gestion du stress, il est possible de diminuer significativement les symptômes.
Une approche globale pour mieux vivre la saison des pollens
Les allergies au pollen ne sont pas une fatalité. Bien qu’elles puissent être particulièrement invalidantes lors des pics de pollinisation, il est possible d’en atténuer les effets en adoptant une stratégie globale qui repose sur trois axes majeurs : la réduction de l’exposition, la gestion de l’inflammation chronique et l’adoption de solutions adaptées pour réguler la réponse immunitaire.
Limiter l’exposition aux pollens : un réflexe quotidien
Même si éviter totalement les pollens est impossible, certaines précautions permettent de limiter leur présence et donc l’intensité du symptôme d’une allergie au pollen :
- Surveiller les bulletins polliniques (RNSA) et ajuster ses sorties en fonction des périodes à risque.
- Protéger son environnement intérieur en filtrant l’air, en lavant régulièrement les textiles et en évitant de faire sécher le linge dehors.
- Adopter les bons gestes en extérieur, comme porter des lunettes de soleil, se laver les cheveux après une sortie et privilégier les activités après la pluie.
Agir sur l’inflammation chronique pour améliorer la tolérance aux allergènes
L’inflammation chronique est un facteur aggravant souvent sous-estimé. En réduisant cet état inflammatoire permanent, il est possible d’atténuer la réactivité immunitaire et de calmer les allergies au pollen.
Les actions clés incluent :
- Une alimentation anti-inflammatoire, riche en oméga-3, en antioxydants et en fibres.
- Le renforcement du microbiote intestinal, grâce aux probiotiques naturels et aux aliments fermentés.
- La gestion du stress, qui influence directement l’équilibre immunitaire et la tolérance aux pollens.
Des solutions complémentaires pour apaiser le système immunitaire
En plus des traitements classiques (antihistaminiques, corticoïdes, désensibilisation), certaines approches naturelles permettent de travailler sur le terrain allergique à long terme :
La méthode Total Reset for allergies, qui vise à reprogrammer la réaction excessive du corps face aux allergènes.
L’EFT (Emotional Freedom Techniques) et la cohérence cardiaque, pour réduire l’hyperactivation du système nerveux.
L’auriculothérapie, qui agit sur des points réflexes pour moduler la réponse immunitaire.

Reprendre le contrôle sur le symptôme d’une allergie au pollen
Les allergies au pollen ne doivent pas dicter le quotidien. En adoptant une approche globale qui permet de diminuer l’inflammation, de rééquilibrer le système immunitaire, et renforcer le terrain, il est possible de calmer les allergies au pollen et d’améliorer la qualité de vie, de se débarrasser de la fatigue, du nez qui coule, des yeux qui grattent et de retrouver la liberté. Chaque organisme est unique, et il est essentiel d’expérimenter différentes stratégies pour trouver celles qui fonctionnent le mieux.
Les séances et conseils donnés ne se substituent en aucun cas à un suivi médical.
À quelle période les pollens sont-ils les plus présents ?
Cela dépend des espèces végétales. Les arbres pollinisent surtout entre février et mai, les graminées entre mai et juillet, et l’ambroisie connaît son pic en septembre.
Peut-on développer une allergie au pollen à l’âge adulte ?
Oui, les allergies peuvent apparaître à tout âge en fonction de l’exposition et du terrain génétique.
La météo influence-t-elle les allergies ?
Oui, le vent et la sécheresse augmentent la dispersion des pollens, tandis que la pluie les fait chuter temporairement.
La méthode Total Reset peut-elle aider ?
Elle vise à rééquilibrer l’organisme pour améliorer la tolérance aux allergènes et réduire les symptômes sur le long terme.
Comment limiter la présence des pollens dans son intérieur ?
Utiliser un purificateur d’air HEPA, aérer tôt le matin ou tard le soir, éviter les tissus qui retiennent les allergènes et se laver les cheveux le soir pour ne pas disséminer le pollen dans la literie.
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